Temps de lecture : 4 minutes
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Le zapping de l’IA
Letta : la startup prometteuse de UC Berkeley, sort de l’ombre avec une levée de 10 M$. Ils développent MemGPT, un projet open source révolutionnaire, pour doter les IA d’une mémoire à long terme, permettant aux chatbots de se souvenir des utilisateurs et des conversations passées.
Torq : la startup spécialisée dans l’automatisation des workflows en cybersécurité vient de lever 70 M$. Leur solution vise à simplifier et accélérer les processus de sécurité en automatisant les tâches, permettant aux entreprises de répondre plus rapidement aux menaces.
ScribeNote : l’application de documentation médicale pour vétérinaires lève 82 M$ avec A16Z en tête d’affiche. Elle simplifie la paperasse médicale, permettant aux vétérinaires de se concentrer sur leurs patients poilus au lieu de se noyer dans l’administratif.
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Des IA qui s’auto-corrigent grâce à Google SCoRe
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Google Deepmind vient de marquer un tournant dans le monde de l’IA avec SCoRe (Self-Correcting Optimizer for Robust Efficiency). Contrairement à ce qu’on pourrait croire, ce n’est pas pour corriger nos erreurs humaines, mais pour permettre aux modèles d’IA de se corriger eux-mêmes.
Concrètement, ces algorithmes ajustent leurs prédictions en temps réel, réduisant ainsi les erreurs.
Imagine le potentiel dans des domaines critiques comme la santé : une IA capable de s’auto-corriger pourrait affiner les diagnostics, améliorer les traitements et minimiser les erreurs médicales. Quand la précision peut faire la différence entre la vie et la mort, cette avancée n’est pas simplement une amélioration, c’est une révolution.
Le développement logiciel ne serait pas en reste. Avec SCoRe , l’IA pourrait repérer et corriger les bugs du code en direct, accélérant les délais de développement et augmentant la fiabilité des programmes.
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Anthropic (Claude) valo à 40 milliards $ ?
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Anthropic, créateur de Claude (non, pas ton voisin, mais leur IA vedette), cherche à lever des fonds et pourrait porter sa valorisation entre 30 et 40 milliards $.
Pas mal pour une boîte qui, discrètement mais sûrement, sait tirer son épingle du jeu face à OpenAI dans la guerre des intelligences artificielles. OpenAI, bien que générant 4 milliards $ de chiffre d’affaires, affiche aussi des pertes massives de 5 milliards $. De son côté, Anthropic reste plus modeste avec 0,8 milliard $ de CA et 2,7 milliards $ de pertes.
L’une des raisons de cette frénésie de financements est que les deux entreprises dépensent des sommes colossales pour rester compétitives, OpenAI qui a déjà brûlé 7 milliards $ pour entrainer ses modèles LLM et 1.5 milliards $ en personnel mène actuellement une levée d’environ 6 milliards $ qui pourrait amener sa propre valo à 150 milliards $.
Cela pose des défis pour d’autres acteurs du secteur comme le français Mistral, qui malgré ses avantages en matière de régulations européennes (RGPD), peine à suivre le rythme effréné de ses rivaux américains.
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Cloudflare : monétiser ses contenus face aux bots IA
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Vous souvenez-vous de Cloudflare, qui annonçait il y a peu permettre aux éditeurs de sites de protéger gratuitement leurs contenus des bots IA ?
Eh bien, ils passent à la vitesse supérieure avec leur toute nouvelle marketplace. Désormais, non seulement les éditeurs peuvent bloquer les scrapers IA, mais ils peuvent aussi vendre l’accès à leurs contenus. Ce modèle révolutionnaire redonne aux créateurs le contrôle sur leurs données, souvent exploitées sans contrepartie. Cloudflare introduit ainsi un véritable changement dans la monétisation des données en ligne.
L’idée est simple : au lieu de subir le scraping sauvage des bots IA, les créateurs peuvent transformer cette contrainte en source de revenus. Chaque fois qu’une IA voudra piocher dans votre contenu, elle devra payer ! Ce n’est plus seulement une question de protection, c’est un nouveau modèle économique qui valorise le travail créatif à grande échelle. De quoi rebattre les cartes pour les éditeurs, grands ou petits.
Attention cependant : bloquer les bots IA peut aussi limiter la visibilité de vos contenus auprès de ces mêmes IA. À vous de peser les avantages entre monétisation et exposition.
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NotebookLM : doc to podcast en quelques minutes ?
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Google a lancé NotebookLM il y a un an comme un « assistant de recherche virtuel« , capable de résumer des faits, expliquer des concepts complexes et établir des connexions inédites à partir des sources que tu sélectionnes.
Mais, la semaine dernière, ils ont ajouté un petit bijou : « Audio Overview », une fonctionnalité qui transforme tes documents en discussions audio. Deux voix qui échangent sur ton document, sans que Google ose vraiment dire « podcast ». Pourtant, ça y ressemble beaucoup !
Alors, oui, l’IA peut résumer et réciter un texte, mais est-ce qu’elle saura reproduire ce petit frisson d’une voix humaine pleine de passion (ou parfois de mauvaise foi) ?
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Un simple prompt d’IA peut illustrer une scène insolite avec un animal tout en vous épargnant un tournage couteux et éprouvant pour vous… comme pour lui ! IA = bien être animal !?
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Le prompt de l’image
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Une photo d’un chat du Bengale avec de beaux yeux verts et un motif de peau de léopard très détaillé assis à un bureau d’ordinateur. Le chat est assis sur une chaise et porte un gilet bleu marine avec « CALL ME NEWTON » écrit en blanc. Les pattes du chat sont placées devant le clavier. Le bureau en bois moderne au design épuré est équipé d’une lampe, d’une plante et d’un livre. L’arrière-plan est un mur beige. L’écran de l’ordinateur affiche une interface d’IA.
(Modèle Ideogram 2 recommandé pour afficher du texte)
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